MASSIF DE LA SAINTE-VICTOIRE
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La montagne Sainte-Victoire, site emblématique du paysage d'Aix-en-Provence, est un massif de 18 km de long, 5 km de large, avec sa croix de Provence à 946 m, et son point culminant constitué par le pic des Mouches (1011 m) situé tout près du village de Puyloubier.
En contrebas, au nord-ouest, les eaux bleues turquoises du lac du Bimont et les eaux vertes du lac Zola, dont le barrage fut construit par le père d'Emile Zola ; sur la partie sud, la barre du Cengle dessinant un étonnant arc ovale aux lignes géométriques presque parfaites.
Luminosité exceptionnelle, palette infinie de couleurs, la montagne Sainte Victoire, site remarquable, fut une source d'inspiration importante pour Cézanne. Quant à Pablo Picasso, il fit du Château de Vauvenargues, village au pied de la Sainte-Victoire, sa demeure éternelle selon ses voeux.
La commune de Saint-Antonin-sur-Bayon, au pied de la Sainte-Victoire, abrite la Maison Sainte-Victoire, espace aménagé avec des expositions temporaires et lieu de découverte de l'histoire de cette montagne.
En contrebas, au nord-ouest, les eaux bleues turquoises du lac du Bimont et les eaux vertes du lac Zola, dont le barrage fut construit par le père d'Emile Zola ; sur la partie sud, la barre du Cengle dessinant un étonnant arc ovale aux lignes géométriques presque parfaites.
Luminosité exceptionnelle, palette infinie de couleurs, la montagne Sainte Victoire, site remarquable, fut une source d'inspiration importante pour Cézanne. Quant à Pablo Picasso, il fit du Château de Vauvenargues, village au pied de la Sainte-Victoire, sa demeure éternelle selon ses voeux.
La commune de Saint-Antonin-sur-Bayon, au pied de la Sainte-Victoire, abrite la Maison Sainte-Victoire, espace aménagé avec des expositions temporaires et lieu de découverte de l'histoire de cette montagne.
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Origine du nom
Jusqu'à la première moitié du XVIII° siècle, la montagne était nommée Venture ou Sainte-Venture pour lui donner une forme chrétienne (Ventùri ou Santo Ventùri en provençal). Ce nom tire son origine très certainement de Venturius, dieu ligure des hauteurs, faisant référence également au vent qui règne en maître sur les crêtes des montagnes provençales. Une étymologie qui est donc au départ semblable à celle du Mont Ventoux. Dans la deuxième moitié du XII° siècle, la chapelle et l'ermitage furent restaurés par un bourgeois d'Aix (Honoré Lambert) sous le nom de Notre-Dame-de-la-Victoire, en référence sans doute à l'église Notre-Dame-des-Victoires construite par Louis XIII. C'est ainsi que le nom de Sainte-Victoire serait apparu et se serait alors généralisé à cette montagne. Un nom qui au final symbolise bien le mont de la Victoire, celui qui a vu en l'an 102 avant J.C. la victoire de Caius Marius et des légions romaines sur les Ambrons et les Teutons. |
Sainte-Victoire en quelques chiffres
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La "route Cézanne", d'Aix à Puyloubier | Vues depuis la vallée de l'Arc | Barrage et lac du Bimont | Barrage et lac de Zola | Prieuré et croix de Provence |
Le Versant Nord | La Barre du Cengle | Autres vues | Sous la neige | GR9 : sur la crête |
Sentier des Venturiers | Sentier Imoucha | Plan d'Enchois et refuge Cézanne | Depuis Saint-Antonin-sur-Bayon | Parc départemental de Roques Hautes |
Plateau de Bibémus | Coquelicots et Sainte-Victoire | Plateau du Cengle |
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