Portail Ville de Briançon |
La vieille ville
La Vieille Ville de Briançon est située à l'intérieur de la citadelle Vauban.
Vous y découvrirez de nombreux trésors, comme la collégiale Notre-Dame-et-Saint-Sébastien, quelques magnifiques cadrans solaires, de belles fontaines, de pittoresques éléments architecturaux, des façades colorées,...
Et notamment : - la maison Prat : le portail d'entrée est surmonté d'un ensemble sculpté présentant deux anges encadrant Saint Jean, et les armoiries de Jean Prat (avocat, juge royal, lieutenant particulier au baillage de Briançon, anobli par Louis XIV) : "Un lion rampant surmonté d'une fasce ornée de trois glands".
- la maison des Templiers : cette maison est située à l'angle de la place du Temple et de la rue du Temple, face à la collégiale Notre-Dame-et-Saint-Sébastien. Elle doit son nom à la commanderie des Chevaliers du Temple qui occupait les lieux au Moyen Age. La maison des Templiers a été édifiée en 1575 dans un style évoquant la Renaissance italienne. Elle aujourd'hui occupée par l'office de tourisme. Un magnifique portail d'entrée est situé rue du Docteur Vagnat.
- l'ancienne église du couvent des Cordeliers : elle abrite un des plus précieux décor de peintures murales de la région. Daté des environs de 1450, il présente une Gloire entourée des quatre évangélistes, le péché originel, une crucifixion, et un couronnement de la Vierge. La façade sud/ouest ornée d'un cadran solaire. La date de 5795 évoque le calendrier maçonnique qui débute à la Genèse, 4000 avant la naissance du Christ. Si on retranche ces années, on obtient 1795.
- la maison des Têtes située au n° 13 de la Grande Gargouille. La façade fut restaurée au 20° siècle en la décorant à l'image de la maison des Têtes de Valence. Les bustes en bas relief sont les portraits de la famille du propriétaire d'alors, en tenue traditionnelle briançonnaise.
- la maison du Pape, avec une magnifique porte : le Pape Pie VI et sa suite ont séjourné dans cette maison du 30 avril au 27 juin 1799.
- la Place d'Armes qui est le seul emplacement dégagé à l'intérieur de la Vieille Ville. La place servait au Moyen Age de place aux halles mais aussi de lieu de divertissement. Transformée en place d'Armes au XVIII° siècle, elle permit ensuite aux militaires de faire les présentations de troupes. Vauban y fit creuser un puits. Le bâtiment qui borde la place au nord fut acheté en 1688 pour servir d'auditoire et de prison. A l'intérieur, la salle d'audience présente un décor de peintures murales datant de 1705. Ce bâtiment est orné de 2 cadrans solaires.
A l'ouest : peint au XIX° siècle (1876) dans le style du célèbre cadranier piémontais Giovanni Francesco Zarbula, le cadran est réalisé en trompe-l'oeil imitant un cadre de bois entourant un fond de marbre, une devise en latin "La vie fuit comme l'ombre".
A l'est : daté de 1823, ce cadran solaire existait déjà au XVIII° siècle. Le décor, fait de cartouches, laisse place aux nombreuses devises qui nous rappellent la fuite du temps et évoquent le rôle de la place. "Du lever du soleil jusqu'à son coucher, cette ombre fugitive commande, comme le soleil, aussi bien les travaux de Thémis (déesse de la justice), de Mars (dieu de la guerre) que les affaires commerciales..."
La place d'Armes présente aujourd'hui également un très bel ensemble de maisons aux façades colorées.
- le couvent des Recollets (XVIII° siècle), le plus important bâtiment religieux de la ville. Construit hors des murs, il fut détruit et reconstruit en 1729. Après le départ des religieux à la fin du XVIII° siècle, le bâtiment a servi d'hôpital militaire et fut transformé en caserne (caserne du Muy) en 1831.
Vous y découvrirez de nombreux trésors, comme la collégiale Notre-Dame-et-Saint-Sébastien, quelques magnifiques cadrans solaires, de belles fontaines, de pittoresques éléments architecturaux, des façades colorées,...
Et notamment : - la maison Prat : le portail d'entrée est surmonté d'un ensemble sculpté présentant deux anges encadrant Saint Jean, et les armoiries de Jean Prat (avocat, juge royal, lieutenant particulier au baillage de Briançon, anobli par Louis XIV) : "Un lion rampant surmonté d'une fasce ornée de trois glands".
- la maison des Templiers : cette maison est située à l'angle de la place du Temple et de la rue du Temple, face à la collégiale Notre-Dame-et-Saint-Sébastien. Elle doit son nom à la commanderie des Chevaliers du Temple qui occupait les lieux au Moyen Age. La maison des Templiers a été édifiée en 1575 dans un style évoquant la Renaissance italienne. Elle aujourd'hui occupée par l'office de tourisme. Un magnifique portail d'entrée est situé rue du Docteur Vagnat.
- l'ancienne église du couvent des Cordeliers : elle abrite un des plus précieux décor de peintures murales de la région. Daté des environs de 1450, il présente une Gloire entourée des quatre évangélistes, le péché originel, une crucifixion, et un couronnement de la Vierge. La façade sud/ouest ornée d'un cadran solaire. La date de 5795 évoque le calendrier maçonnique qui débute à la Genèse, 4000 avant la naissance du Christ. Si on retranche ces années, on obtient 1795.
- la maison des Têtes située au n° 13 de la Grande Gargouille. La façade fut restaurée au 20° siècle en la décorant à l'image de la maison des Têtes de Valence. Les bustes en bas relief sont les portraits de la famille du propriétaire d'alors, en tenue traditionnelle briançonnaise.
- la maison du Pape, avec une magnifique porte : le Pape Pie VI et sa suite ont séjourné dans cette maison du 30 avril au 27 juin 1799.
- la Place d'Armes qui est le seul emplacement dégagé à l'intérieur de la Vieille Ville. La place servait au Moyen Age de place aux halles mais aussi de lieu de divertissement. Transformée en place d'Armes au XVIII° siècle, elle permit ensuite aux militaires de faire les présentations de troupes. Vauban y fit creuser un puits. Le bâtiment qui borde la place au nord fut acheté en 1688 pour servir d'auditoire et de prison. A l'intérieur, la salle d'audience présente un décor de peintures murales datant de 1705. Ce bâtiment est orné de 2 cadrans solaires.
A l'ouest : peint au XIX° siècle (1876) dans le style du célèbre cadranier piémontais Giovanni Francesco Zarbula, le cadran est réalisé en trompe-l'oeil imitant un cadre de bois entourant un fond de marbre, une devise en latin "La vie fuit comme l'ombre".
A l'est : daté de 1823, ce cadran solaire existait déjà au XVIII° siècle. Le décor, fait de cartouches, laisse place aux nombreuses devises qui nous rappellent la fuite du temps et évoquent le rôle de la place. "Du lever du soleil jusqu'à son coucher, cette ombre fugitive commande, comme le soleil, aussi bien les travaux de Thémis (déesse de la justice), de Mars (dieu de la guerre) que les affaires commerciales..."
La place d'Armes présente aujourd'hui également un très bel ensemble de maisons aux façades colorées.
- le couvent des Recollets (XVIII° siècle), le plus important bâtiment religieux de la ville. Construit hors des murs, il fut détruit et reconstruit en 1729. Après le départ des religieux à la fin du XVIII° siècle, le bâtiment a servi d'hôpital militaire et fut transformé en caserne (caserne du Muy) en 1831.
la place d'Armes |
la place d'Armes | la maison des Têtes |
portail de la maison des Templiers | la maison du Pape |
la maison des Têtes |
la chapelle des Pénitents | le couvent des Récollets |
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