Bienvenue à Saint-Paul-sur-Ubaye, la plus haute commune des Alpes-de-Haute-Provence avec son hameau de Maurin à près de 2000 mètres d'altitude et les Aiguilles du Chambeyron (3412 m), point culminant du département.
Avec ses 205 km², Saint-Paul-sur-Ubaye est la plus grande commune des Alpes-de-Haute-Provence et la dixième plus grande commune de France. Un territoire immense situé entre les Hautes-Alpes et l'Italie, donnant accès à la haute montagne.
La commune est une mosaïque de hameaux, avec 12 petits villages : Les Gleizolles, Tournoux ; sur la route du col de Vars, le Mélézen et les Prats ; vers la source de l'Ubaye : Le pont de l'Estrech, Petite Serenne, Grande Serenne et au-delà du pont du Châtelet, Fouillouse au pied du Chambeyron ; Saint-Antoine, La Barge, Maurin et Maljasset perdus au fond de la vallée. Simplement dénommée Saint-Paul jusqu'en 1998, la commune a alors adopté son nom actuel de Saint-Paul-sur-Ubaye.
Histoire : Saint-Paul se livre au comte de Savoie en 1383, afin d'échapper au Duc d'Anjou qui voulait charger la commune d'impôts. En contrepartie, Saint-Paul obtient de nombreux privilèges. Les Saint-Paulains font paître leurs troupeaux sur les terres du comte sans payer de gabelle, peuvent chasser et pêcher sans être obligé de partager. La commune comme le reste de l'Ubaye reste savoyarde jusqu'au traité d'Utrecht de 1713.
Prospère, Saint-Paul compte environ 1700 habitants au XVII° et XIX° siècle. Chaque hameau avait alors sa propre école. La démographie a commencé à baisser à partir de la deuxième moitié du XIX° siècle.
Economie : Saint-Paul, tout comme la vallée de l'Ubaye, a longtemps vécu d'agriculture et d'élevage. Saint-Paul était notamment réputé pour la qualité de son seigle et du pain qui y était confectionné.
A partir de 1838 s'amorce une "ruée vers l'or vert", avec l'exploitation de carrières de marbre vert (et aussi de marbre noir) dans le vallon du Longet et le versant de l'Alpet. Le marbre vert est alors réputé à Paris. L'espoir de voir une activité économique se développer avec ces carrières s'est dissipé avec la difficulté extrême du transport des blocs et la faible production de blocs de taille suffisante.
La cessation définitive des activités d'exploitation date de 1970. Il reste aujourd'hui de belles parois de marbre marquées par les coups de burins des hommes.
Aujourd'hui, le tourisme représente environ 80% de l'économie locale.
Musée : Le musée de Saint-Paul offre un écrin aux outils et aux gestes d'autrefois. Le musée occupe l'ancienne grange de la Maison Arnaud, au coeur du village de Saint-Paul.
Le musée parle des travaux agricols, des techniques de transport, des métiers disparus. Il présente par ailleurs deux activités typiques du territoire, le travail du chanvre et de la laine.
Patrimoine : Du fait de l'étendue de la commune et de la multiplicité des hameaux, le patrimoine est riche. A commencer par le patrimoine religieux, avec de nombreuses églises et chapelles.
La commune possède plus d'une dizaine de cadrans solaires éparpillés dans les différents hameaux, de degré de conservation variable. Tournoux, Serenne et Maurin possèdent de très beaux cadrans.
Au niveau de l'architecture militaire, au nord-ouest des Gleizolles se trouve la Redoute de Berwick. Il s'agit de la seule restante en état d'une série de sept redoutes dont la construction avait été décidée par Vauban.
Tournoux possède de nombreuses fortifications, dont certains sont à cheval sur la commune de La Condamine-Châtelard : Fort de Tournoux, Fort des Corres et la Serre de l'Aut, cet ensemble s'étageant jusqu'à 2010 m.
Relief : Commune de haute-montagne, Saint-Paul-sur-Ubaye comporte pas moins de 34 sommets de plus de 3000 mètres d'altitude. Les Aiguilles de Chambeyron (3412 m) sont le point culminant du département.
Parmi quelques autres sommets citons : Brec de Chambeyron (3390 m), Bric de Rubren (3340 m), Tête de la Courbe (3089 m) des Rochers de Saint-Ours, le Parrias Coupa (3240 m), Pointe d'Aval ou de Chauvet (3320 m), la Pointe Haute de Mary (3206 m), Pic du Pelvat (3220 m), Tête de Malacoste (3216 m), Tête des Toilliès (3175 m), Tête de Longet (3146 m), la Roche Noire (3134 m), le Péouvou (3232 m), Pics de la Font Sancte (3385 m), Pic de Panestrel (3254 m), Pic des Houerts (3235 m),...
Le col de Vars (2108 m) permet de rejoindre la vallée de la Haute-Durance et les Hautes-Alpes via Vars et Guillestre.
Activités : Saint-Paul-sur-Ubaye est un lieu merveilleux pour la pratique des sports de montagne : escalade, alpinisme, sports d'eau vive, ski, randonnées,...
La vallée est un domaine de ski de fond et ski de randonnée. Le tour du Brec de Chambeyron constitue un classique (randonnée en 2 jours). Les balades en raquettes à neige sont également un classique hivernal.
Pour le vélo, vous êtes au pied du col de Vars (2108 m) qui permet de basculer sur la vallée de la Haute-Durance, Guillestre et la vallée du Queyras. Le col de Restefond et la cime de la Bonnette, au départ de Jausiers, ne sont pas loin également.
Population : Les habitants de Saint-Paul-sur-Ubaye sont les Saint-Paulains (228 habitants) (population légale 2007, INSEE). Il s'agit d'une des communes les moins denses du département des Alpes-de-Haute-Provence.
Communes proches : Meyronnes (à 11 km au sud-est), La Condamine-Châtelard (à 8 km au sud), Larche (à 16 km au sud-est).
Avec ses 205 km², Saint-Paul-sur-Ubaye est la plus grande commune des Alpes-de-Haute-Provence et la dixième plus grande commune de France. Un territoire immense situé entre les Hautes-Alpes et l'Italie, donnant accès à la haute montagne.
La commune est une mosaïque de hameaux, avec 12 petits villages : Les Gleizolles, Tournoux ; sur la route du col de Vars, le Mélézen et les Prats ; vers la source de l'Ubaye : Le pont de l'Estrech, Petite Serenne, Grande Serenne et au-delà du pont du Châtelet, Fouillouse au pied du Chambeyron ; Saint-Antoine, La Barge, Maurin et Maljasset perdus au fond de la vallée. Simplement dénommée Saint-Paul jusqu'en 1998, la commune a alors adopté son nom actuel de Saint-Paul-sur-Ubaye.
Histoire : Saint-Paul se livre au comte de Savoie en 1383, afin d'échapper au Duc d'Anjou qui voulait charger la commune d'impôts. En contrepartie, Saint-Paul obtient de nombreux privilèges. Les Saint-Paulains font paître leurs troupeaux sur les terres du comte sans payer de gabelle, peuvent chasser et pêcher sans être obligé de partager. La commune comme le reste de l'Ubaye reste savoyarde jusqu'au traité d'Utrecht de 1713.
Prospère, Saint-Paul compte environ 1700 habitants au XVII° et XIX° siècle. Chaque hameau avait alors sa propre école. La démographie a commencé à baisser à partir de la deuxième moitié du XIX° siècle.
Economie : Saint-Paul, tout comme la vallée de l'Ubaye, a longtemps vécu d'agriculture et d'élevage. Saint-Paul était notamment réputé pour la qualité de son seigle et du pain qui y était confectionné.
A partir de 1838 s'amorce une "ruée vers l'or vert", avec l'exploitation de carrières de marbre vert (et aussi de marbre noir) dans le vallon du Longet et le versant de l'Alpet. Le marbre vert est alors réputé à Paris. L'espoir de voir une activité économique se développer avec ces carrières s'est dissipé avec la difficulté extrême du transport des blocs et la faible production de blocs de taille suffisante.
La cessation définitive des activités d'exploitation date de 1970. Il reste aujourd'hui de belles parois de marbre marquées par les coups de burins des hommes.
Aujourd'hui, le tourisme représente environ 80% de l'économie locale.
Musée : Le musée de Saint-Paul offre un écrin aux outils et aux gestes d'autrefois. Le musée occupe l'ancienne grange de la Maison Arnaud, au coeur du village de Saint-Paul.
Le musée parle des travaux agricols, des techniques de transport, des métiers disparus. Il présente par ailleurs deux activités typiques du territoire, le travail du chanvre et de la laine.
Patrimoine : Du fait de l'étendue de la commune et de la multiplicité des hameaux, le patrimoine est riche. A commencer par le patrimoine religieux, avec de nombreuses églises et chapelles.
La commune possède plus d'une dizaine de cadrans solaires éparpillés dans les différents hameaux, de degré de conservation variable. Tournoux, Serenne et Maurin possèdent de très beaux cadrans.
Au niveau de l'architecture militaire, au nord-ouest des Gleizolles se trouve la Redoute de Berwick. Il s'agit de la seule restante en état d'une série de sept redoutes dont la construction avait été décidée par Vauban.
Tournoux possède de nombreuses fortifications, dont certains sont à cheval sur la commune de La Condamine-Châtelard : Fort de Tournoux, Fort des Corres et la Serre de l'Aut, cet ensemble s'étageant jusqu'à 2010 m.
Relief : Commune de haute-montagne, Saint-Paul-sur-Ubaye comporte pas moins de 34 sommets de plus de 3000 mètres d'altitude. Les Aiguilles de Chambeyron (3412 m) sont le point culminant du département.
Parmi quelques autres sommets citons : Brec de Chambeyron (3390 m), Bric de Rubren (3340 m), Tête de la Courbe (3089 m) des Rochers de Saint-Ours, le Parrias Coupa (3240 m), Pointe d'Aval ou de Chauvet (3320 m), la Pointe Haute de Mary (3206 m), Pic du Pelvat (3220 m), Tête de Malacoste (3216 m), Tête des Toilliès (3175 m), Tête de Longet (3146 m), la Roche Noire (3134 m), le Péouvou (3232 m), Pics de la Font Sancte (3385 m), Pic de Panestrel (3254 m), Pic des Houerts (3235 m),...
Le col de Vars (2108 m) permet de rejoindre la vallée de la Haute-Durance et les Hautes-Alpes via Vars et Guillestre.
Activités : Saint-Paul-sur-Ubaye est un lieu merveilleux pour la pratique des sports de montagne : escalade, alpinisme, sports d'eau vive, ski, randonnées,...
La vallée est un domaine de ski de fond et ski de randonnée. Le tour du Brec de Chambeyron constitue un classique (randonnée en 2 jours). Les balades en raquettes à neige sont également un classique hivernal.
Pour le vélo, vous êtes au pied du col de Vars (2108 m) qui permet de basculer sur la vallée de la Haute-Durance, Guillestre et la vallée du Queyras. Le col de Restefond et la cime de la Bonnette, au départ de Jausiers, ne sont pas loin également.
Population : Les habitants de Saint-Paul-sur-Ubaye sont les Saint-Paulains (228 habitants) (population légale 2007, INSEE). Il s'agit d'une des communes les moins denses du département des Alpes-de-Haute-Provence.
Communes proches : Meyronnes (à 11 km au sud-est), La Condamine-Châtelard (à 8 km au sud), Larche (à 16 km au sud-est).
la vallée de l'Ubaye, Serenne et Saint-Paul | Saint-Paul-sur-Ubaye | les différents hameaux de Saint-Paul-sur-Ubaye |
l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul |
fontaine (1714) | l'Ubaye |
Serenne
Les hameaux de Serenne sont situés à un peu plus de 1500 mètres d'altitude, une vingtaine de mètres au-dessus de la rive droite de l'Ubaye.
Ces hameaux se composent de Riou German, Petite Serenne, le Bas Cougnet et Grande Serenne.
Petite Serenne possède une chapelle, la chapelle Saint-Roch qui a été érigée en 1630 et déplacée en 1719. L'intérieur ressemble beaucoup à celui de la chapelle des Pénitents de Saint-Paul. Elle fut construite à la suite d'un voeu, le village ayant échappé à une épidémie de peste.
Grande Serenne possède une église, l'église de la Transfiguration-de-Notre-Seigneur. Vous remarquerez également des bassins et lavoirs monolithes (l'un de 3 m de long, l'autre de 4 m) gardés par une statue de la Vierge.
A la sortie du hameau se détache le spectaculaire pont du Châtelet.
Ces hameaux se composent de Riou German, Petite Serenne, le Bas Cougnet et Grande Serenne.
Petite Serenne possède une chapelle, la chapelle Saint-Roch qui a été érigée en 1630 et déplacée en 1719. L'intérieur ressemble beaucoup à celui de la chapelle des Pénitents de Saint-Paul. Elle fut construite à la suite d'un voeu, le village ayant échappé à une épidémie de peste.
Grande Serenne possède une église, l'église de la Transfiguration-de-Notre-Seigneur. Vous remarquerez également des bassins et lavoirs monolithes (l'un de 3 m de long, l'autre de 4 m) gardés par une statue de la Vierge.
A la sortie du hameau se détache le spectaculaire pont du Châtelet.
Petite Serenne et Grande Serenne | Le Bas Cougnet | Riou German | hameau de Petite Serenne |
hameau de Petite Serenne | cadran solaire à Petite Serenne | l'Ubaye et la Grande Serenne |
Grande Serenne | l'église de la Transfiguration-de-Notre-Seigneur de Grande Serenne |
Grande Serenne et le pont du Châtelet | cadran solaire de Grande Serenne |
Fouillouse
Fouillouse est relié à la civilisation grâce au pont du Châtelet, un pont à arche unique construit entre 1880 et 1882 qui surplombe un gouffre de 108 mètres au fond duquel s'écoule l'Ubaye. Il s'agit d'un des plus hauts pont d'Europe.
A 1900 m d'altitude, vous y découvrirez la petite église Saint-Jean-Baptiste, construite en 1534.
Le père de l'abbé Pierre (Henri Grouès de son vrai nom) est originaire de Fouillouse. Dans le cimetière se trouve le caveau de la famille Grouès. Les grand-parents de l'abbé Pierre y sont enterrés.
En passant à côté du cimetière qui se trouve face à l'église Saint-Jean-Baptiste, vous remarquerez au-dessus de la porte d'entrée le message suivant : "Passant, souvenez-vous que nous avons été ce que vous êtes, et que vous serez un jour ce que nous sommes".
Fouillouse constitue un point de départ pour une magnifique randonnée vers le Brec de Chambeyron et les Aiguilles de Chambeyron, entourés de nombreux lacs dont le lac des Neufs Couleurs.
Vous pourrez aussi rejoindre le col du Valonnet (2524 m) qui surplombe les lacs du Valonnet ou encore le col de Mirandol (2433 m) qui surplombe Meyronnes.
A 1900 m d'altitude, vous y découvrirez la petite église Saint-Jean-Baptiste, construite en 1534.
Le père de l'abbé Pierre (Henri Grouès de son vrai nom) est originaire de Fouillouse. Dans le cimetière se trouve le caveau de la famille Grouès. Les grand-parents de l'abbé Pierre y sont enterrés.
En passant à côté du cimetière qui se trouve face à l'église Saint-Jean-Baptiste, vous remarquerez au-dessus de la porte d'entrée le message suivant : "Passant, souvenez-vous que nous avons été ce que vous êtes, et que vous serez un jour ce que nous sommes".
Fouillouse constitue un point de départ pour une magnifique randonnée vers le Brec de Chambeyron et les Aiguilles de Chambeyron, entourés de nombreux lacs dont le lac des Neufs Couleurs.
Vous pourrez aussi rejoindre le col du Valonnet (2524 m) qui surplombe les lacs du Valonnet ou encore le col de Mirandol (2433 m) qui surplombe Meyronnes.
Le Pont du Châtelet | Fouillouse et la Tête de Vallon Claous (2945 m) |
Fouillouse et le Brec de chambeyron | l'église Saint-Jean-Baptiste | intérieur de l'église Saint-Jean-Baptiste de Fouillouse |
Mortel, sais-tu à quoi je sers ? A marquer les heures que tu perds | Passant, passez, tout fuit, tout passe et trépasse, le Brec seul demeur impassible |
Saint-Antoine et La Barge
Saint-Antoine est un minuscule hameau situé à 1650 mètres d'altitude. Le hameau se caractérise par la chapelle Saint-Antoine avec sa belle fresque extérieure. Sur cette fresque, Saint-Antoine de Padoue intercède auprès de la Vierge pour les âmes du purgatoire.
Cette chapelle fut construite à la fin du 18° siècle par les habitants du hameau, sans aucune aide extérieure.
La Barge, à 1875 mètres, se situe peu avant Maljasset et Maurin. Le hameau est dominé par le Pic de la Font Sancte (3385 m). Environ 2 km au sud-ouest de la Barge, un sentier de randonnée remonte le vallon des Houerts et permet d'atteindre le lac Vert (2677 m) après 1000 m de dénivelé.
Cette chapelle fut construite à la fin du 18° siècle par les habitants du hameau, sans aucune aide extérieure.
La Barge, à 1875 mètres, se situe peu avant Maljasset et Maurin. Le hameau est dominé par le Pic de la Font Sancte (3385 m). Environ 2 km au sud-ouest de la Barge, un sentier de randonnée remonte le vallon des Houerts et permet d'atteindre le lac Vert (2677 m) après 1000 m de dénivelé.
la chapelle Saint-Antoine | chapelle Notre-Dame des Neige |
Maljasset et Maurin
Le vallon du Maurin, à 1905 mètres d'altitude, c'est le terminus de la route de la vallée de la Haute Ubaye. C'est aussi un formidable point de départ vers la haute montagne et de vastes espaces.
Les lacs de Marinet constituent une des randonnées incontournables, de même que les lacs de Roure tout proche, ou encore la remontée du l'Ubaye jusqu'au col du Longet et ses lacs. Vous pénétrez alors dans le parc naturel régional du Queyras.
Le vallon du Maurin regroupe trois hameaux : Maljasset, Maurin et Combe-Brémont. Ces trois hameaux possèdent une seule église, l'église romane Saint-Antoine-du-Désert. Les fondations semblent dater du XII° siècle. Après qu'une avalanche emporte la partie haute en 1531, elle est reconstruite à l'identique.
Les lacs de Marinet constituent une des randonnées incontournables, de même que les lacs de Roure tout proche, ou encore la remontée du l'Ubaye jusqu'au col du Longet et ses lacs. Vous pénétrez alors dans le parc naturel régional du Queyras.
Le vallon du Maurin regroupe trois hameaux : Maljasset, Maurin et Combe-Brémont. Ces trois hameaux possèdent une seule église, l'église romane Saint-Antoine-du-Désert. Les fondations semblent dater du XII° siècle. Après qu'une avalanche emporte la partie haute en 1531, elle est reconstruite à l'identique.
l'église Saint-Antoine du Désert |
Pont de l'Estrech | Redoute de Berwick | |||
la chapelle de l'Annonciation | la Redoute de Berwick |
Tournoux
Tournoux fut rattaché au XVII° siècle, avec le hameau des Gleizolles, à la communauté de Saint-Paul. Le village a compté jusqu'à 300 habitants vers 1850.
Carrefour stratégique commandant les accès au col de Larche et au col de Vars, plusieurs fortifications ont été construites. A travers le bois de Tournoux, un circuit long de 9 km (et 700 m de dénivelé) permet de rejoindre le fort des Corres puis le fort du Serre de l'Aut, et de découvrir un vaste panorama sur toute la Haute Ubaye.
A 1500 mètres d'altitude, Tournoux est situé sur l'ancienne route haute du col de Vars.
Carrefour stratégique commandant les accès au col de Larche et au col de Vars, plusieurs fortifications ont été construites. A travers le bois de Tournoux, un circuit long de 9 km (et 700 m de dénivelé) permet de rejoindre le fort des Corres puis le fort du Serre de l'Aut, et de découvrir un vaste panorama sur toute la Haute Ubaye.
A 1500 mètres d'altitude, Tournoux est situé sur l'ancienne route haute du col de Vars.
l'église Saint-Thomas | cadrans solaires de Tournoux |
vue sur la Tête de Siguret (3032 m) et la Tête de Cuguret (2912 m) |
Les Gleizolles
Les Gleizolles fut rattaché au XVII° siècle, avec le hameau de Tournoux, à la communauté de Saint-Paul.
Le hameau est situé à l'embranchement de bifurcation entre le col de Vars et le col de Larche.
Le hameau est situé à l'embranchement de bifurcation entre le col de Vars et le col de Larche.
chapelle Saint-Jacques et Saint-Philippe |
Mélezen
Mélezen constitue un des derniers hameaux avant le sommet du col de Vars, juste avant Intra Bas et Intra Haut.
Vous y découvrirez l'église Saint-Sébastien (1785) ornée d'un joli cadran solaire restauré. Le clocher s'élève à côté de l'église, accolé à une habitation qui est ornée de deux cadrans solaires détériorés.
Vous y découvrirez l'église Saint-Sébastien (1785) ornée d'un joli cadran solaire restauré. Le clocher s'élève à côté de l'église, accolé à une habitation qui est ornée de deux cadrans solaires détériorés.
l'église Saint-Sébastien |
Col de Vars
Le col de Vars (2109 m) fait la jonction entre la vallée de l'Ubaye et la vallée de la Durance, entre les départements des Alpes-de-Haute-Provence et des Hautes-Alpes, entre les communes de Saint-Paul-sur-Ubaye et de Vars.
chapelle Sainte-Marie-Madeleine |
Alpes-de-Haute-Provence | Saint-Paul-sur-Ubaye |