L'abbaye Notre-Dame de Sénanque, située à Gordes sur la route en direction de Venasque, constitue un des plus beaux édifices de l'ordre cistercien.
Elle a été fondée en 1148 et est achevée en 1220 après près de 60 ans de travaux.
Le nom de l'abbaye proviendrait de la présence du cours d'eau dans la vallée : sana aqua (eau saine).
Les XIIIe et XIVe siècles constituent l'âge d'or de l'abbaye avant le déclin au début du XVe s. Le dernier moine de Sénanque meurt en 1781 peu avant la Révolution et ce n'est qu'à partir du milieu du XIX° s. que des moines vont réinvestir les lieux. De nouveaux édifices sont alors construits.
L'abbaye est vendue une deuxième fois comme bien national en 1882 suite à la loi contre les congrégations religieuses.
Abandonnée au début du XXe s., les lieux sont en partie dégradés. Ce n'est qu'à partir de 1926 que des moines s'installent à nouveau dans l'abbaye de Sénanque, les lieux étant racheté par l'abbaye de Lérins.
Si l'appelation courante d'abbaye pour Notre-Dame de Sénanque subsiste, c'est notamment au regard de son histoire. Il s'agit en fait plus exactement aujourd'hui d'un prieuré de l'abbaye de Lérins.
En mars 1969, les trois moines qui restent à Sénanque se retire à l'abbaye de Lérins. L'abbaye de Sénanque est alors louée pour un bail de 30 ans à la société Berliet qui s'engage à restaurer les lieux. Les moines cisterciens reviennent s'installer à Sénanque en 1988, Paul Berliet mettant fin au bail.
Outre les liturgies, les activités agricoles constituent également une activité importante pour l'abbaye, avec notamment la culture des olives, le miel et le lavandin.
La culture du lavandin est en grande partie responsable de la renommée internationale de l'abbaye de Sénanque, avec les célèbres photos de ses champs de lavandin face à l'abbaye.
L'abbaye de Sénanque constitue une des trois soeurs de Provence avec les autres abbayes cisterciennes de Silvacane et du Thoronet.
Elle a été fondée en 1148 et est achevée en 1220 après près de 60 ans de travaux.
Le nom de l'abbaye proviendrait de la présence du cours d'eau dans la vallée : sana aqua (eau saine).
Les XIIIe et XIVe siècles constituent l'âge d'or de l'abbaye avant le déclin au début du XVe s. Le dernier moine de Sénanque meurt en 1781 peu avant la Révolution et ce n'est qu'à partir du milieu du XIX° s. que des moines vont réinvestir les lieux. De nouveaux édifices sont alors construits.
L'abbaye est vendue une deuxième fois comme bien national en 1882 suite à la loi contre les congrégations religieuses.
Abandonnée au début du XXe s., les lieux sont en partie dégradés. Ce n'est qu'à partir de 1926 que des moines s'installent à nouveau dans l'abbaye de Sénanque, les lieux étant racheté par l'abbaye de Lérins.
Si l'appelation courante d'abbaye pour Notre-Dame de Sénanque subsiste, c'est notamment au regard de son histoire. Il s'agit en fait plus exactement aujourd'hui d'un prieuré de l'abbaye de Lérins.
En mars 1969, les trois moines qui restent à Sénanque se retire à l'abbaye de Lérins. L'abbaye de Sénanque est alors louée pour un bail de 30 ans à la société Berliet qui s'engage à restaurer les lieux. Les moines cisterciens reviennent s'installer à Sénanque en 1988, Paul Berliet mettant fin au bail.
Outre les liturgies, les activités agricoles constituent également une activité importante pour l'abbaye, avec notamment la culture des olives, le miel et le lavandin.
La culture du lavandin est en grande partie responsable de la renommée internationale de l'abbaye de Sénanque, avec les célèbres photos de ses champs de lavandin face à l'abbaye.
L'abbaye de Sénanque constitue une des trois soeurs de Provence avec les autres abbayes cisterciennes de Silvacane et du Thoronet.
l'abbaye de Sénanque et ses champs de lavande | l'abbaye de Sénanque avant ses champs de lavande |
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